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Biographie

Né en 1959, à Paris, d’un père directeur commercial et d’une mère artiste-peintre, Serge Grouard a construit sa vie et son engagement politique selon deux impératifs dont il ressent très tôt la prégnance, associée à l’urgence d’agir. 

 

D’abord, le goût pour la France, une France qu’il veut servir, une France pour laquelle il souhaite s’engager et dont, en gaulliste fidèle, le flétrissement progressif le navre. Sitôt ses diplômes en poche  - Institut d’études politiques, DEA de relations internationales, École supérieure des officiers d’état-major – scolarité à l’ENA, Serge Grouard devient administrateur au sein de la ville de Paris puis administrateur civil au ministère de la Défense. Il travaille également auprès de Jacques Chirac entre 1993 et 1995, qu’il accompagne lors de sa campagne présidentielle de 1995. Il publie plusieurs ouvrages et articles sur les sujets liés à la stratégie militaire, française et européenne, rapportée à la conquête spatiale, dont La Guerre en orbite : essai de politique et de stratégie spatiales, (éd. Économica, 1994), Stratégies européennes et espace militaire (éd. FEDN, 1989).

Il enseigne les relations internationales et le droit international public à Sciences po et dans le cycle préparatoire à l’ENA.

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Ensuite, la conviction que la menace qui pèse sur le climat doit appeler une réponse politique forte et immédiate. Une prise de conscience qui émane de l’enfance, lors de week-end et vacances passées dans la maison de famille implantée dans le nord du Loiret, à quelques kilomètres d’Orléans. Au contact de cette campagne rugueuse mais solidaire, Serge Grouard prend la mesure progressive des menaces environnementales qui sont déjà à l’œuvre dans une ruralité alors en pleine mutation. 

 

Ce désir de servir la France et, parallèlement, la conviction que la défense de l’environnement est un impératif vital face auquel les élus  ne doivent plus se défausser, constituent la matrice de son engagement politique, au niveau local comme national, et la colonne vertébrale de son action publique. Il se met donc en action.

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Maire d’Orléans : proximité & rayonnement

Très attaché à la ville d’Orléans, capitale régionale du Centre-Val de Loire, véritable ancrage familial et personnel, Serge Grouard s’engage en 1995 sur la liste du candidat UDF Jean-Louis Bernard. Quand celui-ci est battu par le maire PS sortant Jean-Pierre Sueur, Serge Grouard prend la tête de l'opposition municipale et l’emmène jusqu’à la victoire, six ans plus tard.

 

En 2001, pourtant loin d’être le favori de ce scrutin, il devient maire d’Orléans et prend immédiatement à bras-le-corps un chantier devenu une urgence : la lutte contre l’insécurité. Avec une efficacité démontrée par les chiffres, et qui va à rebours de l’évolution nationale, Orléans enregistre une baisse continue à deux chiffres des statistiques sur l’insécurité depuis 2001. La ville devient ainsi un laboratoire de lutte contre l’insécurité copié au niveau national et dont la méthodologie pointue et innovante associe prévention, répression, sanction et médiation.

 

La ville d’Orléans est également l’une des premières de France à se doter d’un agenda 21 qui décline au niveau local les principes du développement durable définis lors du sommet de la terre de Rio en 1992. Au cours de ses deux premiers mandats (2001-2014), les réalisations s’enchainent à très grande vitesse : Nouvelle gare, nouvel hôpital, rénovation des bords de Loire et du canal d’Orléans, seconde ligne de tramway, restauration du centre-ville et des monuments historiques, mémorial aux enfants déportés. Les quartiers dits populaires font l’objet d’une profonde rénovation urbaine. Un festival de Loire voit également le jour en 2003 et le sport se propulse au meilleur niveau. La ville se transforme, s’embellit, rayonne.

 

Réélu en 2008 puis en 2014 au premier tour, Serge Grouard devient alors le seul maire de l’histoire de la ville d’Orléans à obtenir à trois reprises successives la confiance des Orléanais. 

 

En juin 2015, des problèmes de santé l’obligent à renoncer à son mandat de maire. Il reste néanmoins adjoint, chargé de la stratégie métropolitaine jusqu'à sa démission en juin 2019, à l’issue de nombreux désaccords avec son premier adjoint qui lui avait succédé. 

 

En 2018, il signe un livre d’entretien avec le journaliste Anthony Gautier, intitulé Ce que je voulais vous dire (Corsaire Éditions).

 

En juin 2020, candidat à sa réélection, il gagne la triangulaire du second tour avec 40,3 % des suffrages. Le 4 juillet 2020, il est élu maire d’Orléans pour la quatrième fois consécutive sur la base d’un programme ambitieux dans le domaine de l’environnement notamment : faire d’Orléans la première ville décarbonée de France. 


Dès les premiers mois de son mandat, il lance la réflexion et la mise en œuvre de deux chartes, l’une portant sur la déontologie des élus et l’autre sur la laïcité appliquée à l’échelle locale ; et sur le plan environnemental, il pilote politiquement des Assises de la transition énergétique et de la résilience qui installent, dans la durée, une nouvelle manière de mener des politiques locales sous le prisme systémique de la lutte contre le dérèglement climatique.

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En octobre 2021,  il sort un nouvel ouvrage "Assez de mots, des actes" (Édition Véronne) dans lequel il partage son expérience de maire sur les problématiques de sécurité.

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Le 9 novembre 2021, il est élu président d'Orléans Métropole.

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Député :

la France et le climat

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Ses trois mandats de député (2002-2017) de la 2ème circonscription du Loiret garde l’empreinte forte de son engagement pour la défense de l’environnement et la lutte contre le dérèglement climatique notamment quand il devient rapporteur du Grenelle de l’Environnement puis président de la Commission du développement durable et de l’aménagement du territoire de 2010 à 2012. Très engagé sur cette question, Serge Grouard participe au sommet mondial sur le climat à Copenhague en 2009, aux côtés de Nicolas Sarkozy et de Jean-Louis Borloo. 

 

Il est également en première ligne pour participer activement à une campagne nationale pour la libération de Florence Cassez, détenue de manière inique au Mexique entre 2005 et 2013. Serge Grouard fera plusieurs déplacements au Mexique afin de soutenir Florence Cassez, rencontrer ses avocats et donner le plus large écho, politique et médiatique, à cette affaire. Le 30 avril 2010, Florence Cassez est faite citoyenne d’honneur de la ville d’Orléans. 

 

Et c’est à nouveau au nom d’une certaine idée de la France, alors mise sous le joug des terroristes islamistes, que Serge Grouard entonne spontanément la Marseillaise dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale, le 13 janvier 2015, à l’issue de l’hommage rendu aux victimes des attentats. Une initiative saluée par l’ensemble de la classe politique.

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Présidentielle 2017 : un « État en situation de faillite » à relever

Pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016, Serge Grouard soutient François Fillon, dont il est responsable du projet. Il travaille notamment sur les questions régaliennes dont celles liées à la politique internationale, à la sécurité et à la lutte contre l’islamisme radical. Il participera ainsi à l’écriture du livre Vaincre le terrorisme islamique (Albin-Michel) signé par François Fillon. Partageant avec le candidat LR le constat selon lequel « la France est un État en faillite » mais qu’il n’est pas question de s’y résoudre, Serge Grouard participe activement à l’élaboration d’un plan de redressement. 


 

Bien que battu aux législatives de 2017, Serge Grouard poursuit son engagement politique avec force et détermination. Il approfondit le travail engagé, dès 2014, à l’échelle nationale, pour proposer un programme politique qui soit à la hauteur des enjeux actuels et des défis de demain, qu’il s’agisse d’environnement, de sécurité, de santé, ou encore de politique internationale.  

 

A titre plus personnel, il cultive de nombreuses passions, de la moto à la pratique du jardinage, de la science, en particulier astrophysique à l’art, de l’histoire à Tintin !

Une vie d'élu prise sur le vif 

Mars 2001, l'heure de la victoire aux élections municipales.

En 2005, Jean-Louis Debré, président de l'Assemblée nationale, était l'invité d'honneur des fêtes johanniques.

En novembre 2005, la France s'embrase. Aux abords de la place de l'Indien, la tension est vive mais le dialogue n'est pas rompu.

En 2005, avec Jacques Attali, président de l'ONG PlaNet Finance, signature d'une convention pour promouvoir des opérations de micro-crédits à Parakou, au Bénin.

Septembre 2006, avec des enfants du quartier de La Source, au moment de la démolition d'un immeuble.

En décembre 2007, les traces de Monsieur Chat conduisent directement au musée des Beaux-Arts d'Orléans.

Mai 2009, avec Denis Tillinac, écrivain et journaliste, invité des fêtes de Jeanne d'Arc.

Mai 2009, dans les gradins du POPB parmi les supporters de l'OLB lors de la finale du championnat de France de basket.

Février 2010, avec David Douillet, alors ministre des Sports.

Novembre 2010 : séquence "tram" avec Jean-Louis Borloo, alors ministre de l'Écologie.

En septembre 2010, Jean-Louis Borloo, alors ministre de l'Écologie, découvre l'étendue du chantier du tram rue Jeanne-d'Arc.

En août 2010, la rue Jeanne d'Arc subit une longue saignée le temps des travaux du tram.

En janvier 2011, lors de l'inauguration des nouveaux locaux du Cercil, rue du Bourdon-Blanc, avec Jacques Chirac, Simone Veil, Hélène Mouchard-Zay et Serge Klarsfeld.

En février 2011, avec Nicolas Sarkozy, président de la République.

En 2011, dans l'enceinte du Palais des sports d'Orléans.

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Mars 2011, à Orléans, lors de l'émission des Grandes Gueules sur RMC dans un wagon transformé en studio.

En mai 2012, Anémone Giscard d'Estaing avait assisté aux fêtes de Jeanne d'Arc.

Mai 2012, Serge Grouard est entouré par Jean-Pierre Sueur (à sa droite), et Jean-Louis Bernard, deux anciens maires, pour le 600e anniversaire de la naissance de Jeanne d'Arc.

En septembre 2012, sur la place De-Gaulle, à Orléans, avec le colonel Fred Moore, président de l'ordre de la Libération.

Sur le marché de l'Argonne, en 2013.

En août 2013, les quais de la Loire sont animés : la ville s'est enfin retournée vers son fleuve.

En novembre 2013, en présence de Jean-François Mattéi, ancien ministre de la Santé : on coupe le ruban lors de l'inauguration du premier bâtiment du nouvel hôpital.

En novembre 2013, déambulation dans les couloirs du nouvel hôpital avec Jean-François Mattéi, ancien ministre de la Santé.

Novembre 2013, l'inauguration de la place du Martroi totalement refaite donne l'occasion d'échanges nourris avec les Orléanais.

En 2014, réunion amicale avec les représentants des musulmans de La Source.

Février 2014, au centre de conférences d'Orléans, lors d'un meeting de campagne avant les élections.

Avec Stéphane Bern, invité d'honneur des fêtes johanniques 2014.

En 2014, avec Philippe Candeloro, ancien vice-champion olympique, et Martine Grivot, élue.

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Décembre 2014 : le Zénith d'Orléans, plein à craquer, accueille le concours Miss France.

En octobre 2017, avec Florence Cassez faite citoyenne d'honneur de la ville en 2010.

Orléans, quartier ancien : la politique de ravalement de façades a rendu aux maisons leur splendeur passée.

Le Festival de Loire, dont la première édition a eu lieu en septembre 2003.

Le Festival de Loire fait beaucoup de bruit ! Et il fait rayonner Orléans à l'échelle nationale et internationale.

À l'été 2020, avec Jean-Paul Imbault, adjoint en charge de la ville-jardin, lors du concours de rose.

Photos insolites

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